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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 20:30

 

Hollande se comporte comme un vulgaire chef de bande, déroulant les directives liées à la fameuse note de Terra Nova conseillant de répondre aux soit-disants desiderata communautaires instrumentalisés par des lobbys au détriment de l'intérêt général, de la France et des français.

Le lobby gay est symptomatique de ce travail de sape communautaire, omniprésent dans les médias et les milieux culturels influents.

Il n'est pas certain que ce lobby serve la cause homosexuelle sachant que la grande majorité des homosexuels entend vivre en toute tranquillité sans s'ériger en militant de leur sexualité qui ne regarde qu'eux.

Ce lobby fait du mal à la cause qu'il défend.

En filigrane de la défense clientéliste de cette cause, la destruction de la famille par les socialistes se dessine.

 

La valeur famille, échelon de protection le plus évident et le plus efficace, est perçue par les socialistes comme un adversaire. Elle permet aux individus de s'affranchir de l'Etat en créant des Hommes libres.

 

Les socialistes ont bel et bien engagé un combat contre les libertés.

 

C'est ainsi que tout ce qui émancipe de l'Etat est systématiquement attaqué: la famille, puis la religion catholique qui permet aussi de se construire sans le concours de ce sacro-saint Etat est l'autre adversaire des socialistes.

 

Ces derniers qui se présentent en parangon des droits de l'homme et des libertés ne manquent pas de culot et de violence sous toutes ces formes à l'égard de tout opposant.

 

C'est sous leur drôle de façon de gouverner que des individus ont été mis en garde à vue pour avoir porté un t-shirt de la manifestation pour tous dans les jardins du Luxembourg.

 

Quel pays sur la planète se comporte-t-il ainsi avec ses citoyens ?

 

Les outils pour ce combat idéologique contre la liberté d'être et de penser sont connus.

 

Une administration qui vote à gauche dans de grandes proportions, aussi dogmatique et normative que cette clique socialiste.

 

Cette administration s'exécute docilement, en silence en échange de déroulement de carrière gratifiant et de diverses sinécures, tout en espérant que leurs enfants pourront à leur tour profiter de la même vie professionnelle présentée par le landerneau médiatique comme difficile (quel toupet pour ceux qui peuvent connaître aisément le vrai niveau de salaire).

 

Le milieu des fonctionnaires est devenu un monde à part, hors de l'économie réelle, avec des salaires augmentant mécaniquement.

 

On ne fréquente que des fonctionnaires; on ne voit que des fonctionnaires.

 

L'administration par calcul idéologique et zèle est au service de quelques uns, bien loin de l'intérêt général. Elle propose au cabinet ministériel des textes qui déservent les pauvres classes moyennes par le biais de contraintes, de taxes et de normes toujours plus lourdes.

 

C'est la nouvelle façon d'être au service du public.

 

Les effectifs de l'Administration ne cessent de croître. Elle s'avère toujours plus coûteuse. Les catégories A+ font des tâches exécutées auparavant par des catégories B.

 

L'administration servile est ainsi instrumentalisée, que ce soit le plus petit ministère insignifiant aux ministères régaliens (Justice et Intérieur).

 

Les procédures judiciaires à l'endroit des gens qui ne pensent pas comme les socialistes est significative de l'instrumentalisation de l'appareil d'Etat à des fins idéologiques.

 

Avec la bienveillance d'Hollande et de sa bande (confère le lapsus de Michel Sapin: "on va s'occuper de Sarkozy. Enfin, les juges s'en occuperont"), la justice est ainsi en service commandé avec leur allié idéologique objectif: le milieu médiatique.

 

90 % des journalistes votent à gauche, 100 % des élèves journalistes des deux principales écoles de journalisme.

 

Quel sentiment d'impunité faut-il avoir pour brandir des notes devant la presse infirmant les propos de Taubira. Le sentiment de politiciens qui possèdent les quatre pouvoirs comme dans une république bananière.

 

La séquence pour attaquer la droite est dorénavant connue: on colporte la moindre rumeur, dans les médias, y compris les plus fantasques (Bettencourt, Kadhafi), jusqu'à la marteler.

 

La Justice prend ensuite le relais avec des gros moyens disproportionnés, par rapport au fondement des accusations, alors qu'elle est présentée comme démunie.

 

Le travail optionnel de la presse est aussi de décrédibiliser tout adversaire.

 

Il en va des partisans de la manif pour tous: les mocassins, les jupes plissées, les cathos intégristes, bien loin de la réalité de ce mouvement qui défendait de façon gratuite le bien commun.

 

Il en va aussi des bonnets rouges, qui ont juste le tort de manifester parce qu'ils crèvent de faim, présentés comme suppôt du vil patronat.

 

Au vu de toutes ces composantes, la France présente bel et bien, de par sa structure et ses relais, les réalités d'un Etat totalitaire.

 

Ce type de régime arrive en général à péremption dans de mauvaises conditions, sous la colère du peuple.

 

Le troisième perdant de ce combat, après les libertés et la classe moyenne, est le monde médiatique. La plupart des groupes médiatiques a licencié entre 10 et 20 % de ses effectifs ces derniers mois.

 

La faute au peuple inculte qui ne souhaite plus lire les directives gouvernementales de bien des journaux.

 

Ah le peuple forcément populiste, réac et plouc, qui pense souvent mal, qui pue la sueur et boit du vin rouge de mauvaise qualité qui s'entasse dans des petits pavillons de deuxième couronne. Ah ce peuple qui se paupérise et qu'on veut faire taire...

 

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